je vais la nuit dans des cimetières
qui sont abandonnés par la lumière
mais la je trouve plein d’amis
et je suis enfin a l’abri
je m’allonge a coté d’eux
ensemble on est heureux
plus les visages du jour
plus de cris et long discours
ici pas d’adulte révoltant
même pas des revenant
fermant tout je joue à la morte
c’est bon de se sentir forte
je laisse derrière moi ma mère et ses peines
si elle me trouve elle gueul’ra, rêve qu’elle comprenne !