Son monde n'est pas le mien
même si je lui ai tendu la main
le virtuel l'a accaparé,
retrouvera t-il la liberté,
et les violons pleureront dans la nuit
et mes mots s'envoleront encore vers l'ennui.
Prisonnière de ses silences,
mes nuits flirtent avec l'absence,
à l'attendre entourée de la pénombre,
combien de tristesse avant que je ne succombe,
et les violons pleureront dans la nuit
et mes mots s'envoleront encore vers l'ennui.
Des larmes chevauchent mon visage,
et s'apaise mon pauvre visage,
mais ce n'étais pas un rêve,
il s'éloigne et j'en crève,
et les violons pleureront dans la nuit,
et mes mots moureront encore pour lui.
L.A 30.07.08[center]